Jeûne intermittent, hydrique, sec… Comment s’y retrouver ?

Et pourquoi chez KelʼJeûne, nous avons choisi la méthode Buchinger
Le jeûne est aujourd’hui sur toutes les lèvres. Tantôt promu comme secret de longévité, tantôt perçu comme pratique extrême, il suscite beaucoup d’intérêt… mais aussi pas mal de confusion. Car en réalité, il n’existe pas un mais des jeûnes, et chacun répond à des objectifs et des contextes différents.
Dans ce paysage riche, il est parfois difficile de s’y retrouver. Voici un petit tour d’horizon pour vous aider à mieux comprendre… et à faire un choix éclairé.
Les différentes formes de jeûne : panorama express
-
Le jeûne intermittent, le plus médiatisé, consiste à alterner périodes d’alimentation et de non-alimentation (ex : 16/8). Il s’intègre facilement dans un quotidien actif.
-
Le jeûne hydrique repose sur la consommation exclusive d’eau, de tisanes ou de bouillons, sur plusieurs jours.
-
Le jeûne sec, plus radical, interdit toute prise de liquide ou de nourriture. Très controversé, il nécessite un encadrement strict.
-
Le jeûne thérapeutique, pratiqué en clinique sous supervision médicale, peut accompagner certaines pathologies (obésité, syndrome métabolique…).
-
Le jeûne spirituel ou religieux, ancré dans de nombreuses traditions, s’inscrit dans une démarche symbolique ou introspective.
-
L’OMAD (“one meal a day”) : une forme stricte d’intermittent où l’on mange une seule fois par jour.
-
Le FMD (Fasting Mimicking Diet), développé par le Dr Valter Longo, imite les effets du jeûne tout en autorisant un faible apport calorique.
-
La monodiète, plus douce, consiste à ne consommer qu’un seul aliment (souvent pomme ou riz) pendant quelques jours.
-
Le jeûne protéiné, utilisé dans certains protocoles médicaux, maintient la masse musculaire via des apports protéiques liquides.
Chacun de ces formats a ses spécificités, ses bienfaits potentiels… et ses limites. Ce n’est pas une question de mode, mais de sens, de contexte et d’écoute de soi.
Le bon jeûne, c’est celui qui vous respecte
Avant de jeûner, la première question à se poser est simple : pourquoi ?
S’agit-il de faire une pause ? De retrouver de l’énergie ? De rééquilibrer son rapport à l’alimentation ? De prévenir certaines maladies ? Ou simplement de vivre une expérience nouvelle, en nature, au rythme du corps ?
Clarifiez votre intention.
Le jeûne devient alors un outil puissant, à condition d’être bien compris, bien adapté, et bien encadré.
Notre choix : le jeûne Buchinger, doux, hydrique et encadré
Chez KelʼJeûne, nous avons choisi une approche douce, sécurisante et éprouvée : le jeûne hydrique Buchinger, complété par des jus de légumes frais (pour les vitamines) et des bouillons reminéralisants (pour les minéraux).
Pourquoi ce choix ?
-
Parce qu’il respecte l’intelligence naturelle du corps.
-
Parce qu’il permet une régénération cellulaire profonde sans privation extrême.
-
Parce qu’il offre un vrai confort tout en favorisant un nettoyage intérieur efficace.
-
Parce qu’il s’appuie sur des bases scientifiques solides, notamment les travaux de la clinique Buchinger Wilhelmi.
Ici, on ne parle pas de performance ni de « défi » : le jeûne est un moment pour soi, une parenthèse régénérante pour recharger, ralentir, réapprendre à écouter.
Les étapes d’un jeûne Buchinger chez KelʼJeûne
1.
La descente alimentaire (préparation)
Quelques jours avant le début du jeûne, vous serez invité·e à alléger progressivement votre alimentation. Moins de produits transformés, puis moins de protéines animales, puis moins de sucres, jusqu’à arriver aux jus de légumes. Cette phase est fondamentale pour permettre au corps d’aborder le jeûne en douceur.
2.
Le jeûne hydrique
Le corps passe en mode « éco » : il commence à puiser dans ses réserves, à nettoyer ce qui est en trop, à se recentrer. Pendant cette période, vous serez accompagné·e, vous marcherez chaque jour en nature, vous prendrez soin de vous, sans pression. Il s’agira surtout d’écouter vos signaux, sans jugement ni attente.
3.
La remontée alimentaire
Une phase aussi importante que la descente ! Reprendre une alimentation solide, étape par étape, en douceur, en redécouvrant les textures, les goûts… et votre propre rythme. Cette transition est souvent vécue comme une redécouverte joyeuse et intuitive.